Le 7 mai le juge des référés a rejeté la requête déposée par des riverains, estimant que les moyens invoqués ne lui paraissait pas, en l’état du dossier, propres à créer un doute sérieux sur la légalité de la décision attaquée. Ce jugement ne nous surprend pas (voir ici notre article sur le précédent recours en référé jugé dans cette affaire).
Alors que l’ONU pointe la disparition d’un million d’espaces végétales et animales dans les prochaines décennies, le projet de serre bénéficie d’une dérogation préfectorale pour la destruction partielle d’espèces protégées et d’un bâtiment de stockage de produits phytosanitaires. Cherchez l’erreur…
Reproduction de l’article publié par le journal Ouest-France dans son édition du 14 mai 2019