Nous souhaitons mettre en exergue le cri de coeur lancé par notre adhérent Jean-Pierre Majzer à propos de la friche de l’ancien bâtiment Leclerc. Le CPNS qui est, lui-aussi, excédé par l’inertie du propriétaire à transformer cet espace, consacre une brève à ce problème dans son prochain bulletin à paraître prochainement. Bien qu’il s’agisse d’un espace privé, nous estimons que la commune pourrait faire pression sur le propriétaire. Pour l’heure, laissons la parole à Jean-Pierre.

 


 

Combien d’années pour ravaler ? « Dur à avaler… »

« Laisse béton… ? »¹

« Si c’est construit avec du béton, c’est construit pour la vie. »

 parole de maçon. On souhaite que ce ne soit pas vrai.

 

Sans attendre « cinquante ans », on ravale ou on démolit ? Non seulement c’est permis, c’est même un devoir – d’esthétique, de morale, d’intérêt général. Car le laid monte, déborde, et ceux qui le voient ont du mal à avaler. Sans parler de ceux qui cherchent à se loger.

Ici, on a l’espace d’un parc, les prémices d’un verger. Lycéens et citadins y viendront pour se récréer et, pourquoi pas, « se recréer ».

 

 

 

Quand la nature nous pousse,

sous le bitume: un verger public!

 

 

 

 

¹ Les lecteurs auront reconnu « un ancien magasin » proche du Rond-point de l’Europe à Saint-Gilles-Croix-de-Vie.

Jean-Pierre Majzer

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