Nous souhaitons mettre en exergue le cri de coeur lancé par notre adhérent Jean-Pierre Majzer à propos de la friche de l’ancien bâtiment Leclerc. Le CPNS qui est, lui-aussi, excédé par l’inertie du propriétaire à transformer cet espace, consacre une brève à ce problème dans son prochain bulletin à paraître prochainement. Bien qu’il s’agisse d’un espace privé, nous estimons que la commune pourrait faire pression sur le propriétaire. Pour l’heure, laissons la parole à Jean-Pierre.
Combien d’années pour ravaler ? « Dur à avaler… »
« Laisse béton… ? »¹
« Si c’est construit avec du béton, c’est construit pour la vie. »
parole de maçon. On souhaite que ce ne soit pas vrai.
Sans attendre « cinquante ans », on ravale ou on démolit ? Non seulement c’est permis, c’est même un devoir – d’esthétique, de morale, d’intérêt général. Car le laid monte, déborde, et ceux qui le voient ont du mal à avaler. Sans parler de ceux qui cherchent à se loger.
Ici, on a l’espace d’un parc, les prémices d’un verger. Lycéens et citadins y viendront pour se récréer et, pourquoi pas, « se recréer ».
Quand la nature nous pousse,
sous le bitume: un verger public!
¹ Les lecteurs auront reconnu « un ancien magasin » proche du Rond-point de l’Europe à Saint-Gilles-Croix-de-Vie.
Jean-Pierre Majzer
Qu’ont-ils fait de St Gilles ? Cette charmante ville portuaire…un grand bétonnage de laideur, quelle tristesse de voir notre cité maritime et ses abords se faire défigurer. J’ai mal, je ne reconnais plus le secteur de mon enfance (Givrand, St Gilles…) honte à vous. Je ne parlerai pas des haies qui disparaissent, des terres agricoles englouties…etc. J’ai mal à chacun de mes passages…je vois le canton se transformer à vitesse grand « V », malheureusement cette transformation est horrible, elle porte atteinte à la biodiversité, à nos paysages, à notre patrimoine, à notre identité… Messieurs les élus arrêtez cette folie ravageuse, vous… Lire la suite »
J’ai quitté Saint Gilles Croix de Vie depuis pas mal d’années mais j’y reviens 1 a 2 fois par an pour revoir famille et amis. J’habite en Charente, donc en revenant, j’arrive par la route de La Roche et l’accueil a Saint Gilles a dramatiquement évolué au cours des 20 dernieres années. C’est déjà un crève-coeur de voir des batiments industriels sans âme couvrir les bords de route jusqu’au rond point des 4 chemins, mais le pompon c’est en arrivant au niveau de la bretelle « semi-rapide ». A droite une zone commerciale comme on en voit partout défigurer les pourtours de… Lire la suite »