La ville de saint-Hilaire-de-Riez a pris acte, dans sa délibération du 26 octobre 2012, de la décision de SA Le Coulinec de ne pas donner suite à son projet de thalassothérapie sur l’Îlot Jeanne d’Arc. La ville a approuvé le principe du lancement d’un nouvel appel à projet pour ce secteur où elle est propriétaire d’un ensemble immobilier d’environ 7 150 m2. La municipalité souhaite privilégier un équipement structurant pour renforcer la fréquentation de Sion à l’année tout en développant l’emploi.
Le projet devra intégrer des espaces associatifs pour le club nautique et l’association La Livarde et intégrer la démarche de développement durable.
Ce quartier laissé en total abandon dans l’attente de l’émergence du projet de thalassothérapie restera-t-il encore longtemps en l’état ?
Le CPNS regrette que l’ inventaire pour conserver les villas remarquables n’a jamais été fait à Sion.
Ne pourrait-on au moins sauver la villa la Clarté qui abrite l’ancienne bibliothèque ? Qu’en sera-t-il de la maison du 13 rue Collinet qui reste à ce jour le seul immeuble à caractère privé ?
Le projet devra intégrer des espaces associatifs pour le club nautique et l’association La Livarde et intégrer la démarche de développement durable.
La perte d’un témoignage immobilier et professionnel de ce quartier de pêcheurs est-il vraiment inéluctable ?
Faut-il s’y résigner au nom de la modernité ?
Dans l’hypothèse d’une acceptation raisonnée de la nécessité de faire évoluer l’économie locale plusieurs points mériteraient d’être développés :
- la capacité de stationnement,trop souvent sous estimée,
- le plan de circulation en pleine saison estivale et l’aggravation du niveau de pollution sur un site sensible, bord de mer et proximité du site dunaire,
- risque d’engorgement sur un espace maritime étroit qui est susceptible de recevoir d’autres projets.
De nouveau il semble que le CPNS ait déposé un nième recours contre ce projet. Quelles en sont les raisons, quelle en est sa teneur ?
Effectivement, le CPNS et des riverains du projet ont décidé d’exercer un recours à l’encontre du nouveau permis de construire avec l’aide d’un avocat.