« Ce n’est que neuf ans après le débat public et six ans après l’enquête d’utilité publique que les porteurs du projet ont reconnu que le site était composé à 98% de zones humides et comportait de nombreuses espèces protégées, nécessitant dès lors de nouvelles autorisations environnementales. Nous demandons au gouvernement français de se mettre en cohérence avec ses propres déclarations en renonçant à ce projet. »
Denez L’Hostis, président de FNE – 7/12/2015
En quoi le sud Loire est concerné sur le […]
