« Apprendre aux gens à se débrouiller », résume Patricia Bethus, qui précise toutefois : « Il n’y a pas d’obligation de résultat. »
En effet, tout n’est pas réparable, même s’« il faut au moins faire la démarche d’essayer », estime Guy-Paul, un autre bénévole.
Manifestement, le premier Repair-café depuis le début de la crise sanitaire était attendu. La jauge limitée de la salle a contraint les organisateurs à mettre en place quelques aménagements. Rien d’irrémédiable. La présidente du CPNS Marie-France Simonnet qui s’est prêtée aimablement […]